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Episode 01
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Quelle plus atroce ironie que de mourir à cause de sa passion ? C’est pourtant ce qui est arrivé à Urano Motosu, une jeune fille qui s’apprêtait à devenir bibliothécaire et à vivre ainsi de son amour pour la littérature. Comble de malchance : elle qui à son dernier souffle priait pour être ressuscitée parmi les livres se réveille dans le corps d’une petite fille malade… et dans un monde où ils n’existent quasiment pas.
Le monde dans lequel Urano s’est réincarnée ne manque pas uniquement de livres, et elle a du mal à s’habituer à l’air empuanti de la ville et à la saleté ambiante. De plus, pour pouvoir fabriquer ses chers livres, il lui faudrait aussi plus de temps libre et une constitution autrement plus solide.
Comme toutes les familles pauvres du pays, celle de Maïn endure l’hiver et ses rigueurs comme elle peut. La petite fille est mise à contribution pour les travaux domestiques, mais elle a d’autres idées en tête. Ayant échoué à tisser un genre de papyrus, elle provoque en revanche l’admiration de sa sœur et de sa mère par ses prouesses dans des domaines où elle est censée être ignorante. Tuuli et Eva commencent à se poser des questions…
Après avoir rongé son frein tout l’hiver, la pauvre Maïn se figure qu’elle pourra se précipiter à la recherche d’argile dès les premiers rayons printaniers. Que nenni ! Sa famille la trouve trop faible et trop fragile pour effectuer le long trajet de la forêt, seul endroit où elle pourrait trouver ce qu’elle cherche. Pour obtenir l’autorisation d’entreprendre ce périple, Maïn doit apporter la preuve qu’elle va mieux.
Grâce à la coiffure réalisée par sa sœur, Tuuli est le point de mire de tous les regards lors de son baptême. Après la cérémonie, Maïn se voit remettre par ses parents un objet qui pourrait l’aider grandement à atteindre son but. Enfin, si son entourage ne ruine pas tous ses efforts…
La petite discussion informelle entre Lutz et Otto sur le métier de colporteur tourne à l’entretien d'embauche. C’est qu’Otto n’est pas venu seul, mais avec un membre de la guilde des marchands, qui se révèle très intéressé par les inventions de Maïn.
Au cours de leur déjeuner chez Benno, Maïn et Lutz prennent connaissance des termes du contrat que leur hôte entend conclure avec eux. Tandis que Maïn défend leurs droits pied à pied, Lutz, lui, assiste impuissant à une conversation qui le dépasse complètement. Ce qui va avoir des répercussions que Maïn, trop occupée à négocier, n’avait pas prévues.
Alors que toutes les conditions semblaient réunies pour permettre le lancement de son papier végétal, Maïn se voit mise au pied du mur par un Lutz dont les soupçons se sont cristallisés en certitude. Comment va-t-elle s’en sortir ?
Pour parvenir à ses fins, Maïn misait sur son papier végétal, et certes pas sur la barrette confectionnée pour sa sœur Tuuli. Il va apparaître qu’elle s’est peut-être bien trompée.
Déjà un an qu’Urano est revenue à la vie dans le corps et le monde de Maïn. Malgré le chemin parcouru, ses relations haut placées et son amorce d'ascension sociale, elle est menacée par une Mangeuse de vie de plus en plus virulente. C’est donc une course contre la montre qui commence pour elle et ses amis.
Maïn, conduite chez le chef de la guilde, revient à elle dans un lit somptueux. À son bras, un bracelet brisé l’intrigue : il semble avoir absorbé la fièvre qui la dévorait. Mais son soulagement est de courte durée, car Frida lui explique ce qui lui en coûtera à l’avenir de se procurer ce genre d’objets, appelés réceptacles. Elle-même a déjà pris pour assurer sa propre survie des dispositions qui font froid dans le dos.
Maïn a pris sa décision et l’explique à une Frida consternée. En attendant de succomber à la Mangeuse, notre héroïne se rend à sa cérémonie de baptême. Alors qu’elle n’en espérait sans doute pas grand-chose, ce sera l'occasion pour elle d’avoir enfin accès à des livres…
La réaction de Gunther quand Maïn lui annonce vouloir entrer au temple en tant que novice est telle qu’elle finit par changer d’avis. Elle s’empresse d’en référer au père supérieur, mais une chose en amenant une autre, lui et le grand prêtre finissent par apprendre de quel mal elle est atteinte… ce qui change complètement la donne.
Maïn est prise au piège. Pratiquement obligée d’entrer au temple pour survivre, elle s’expose du même coup à ne jamais revoir sa famille. Il semblerait aussi que pour une roturière, la vie n’y soit pas très drôle. Il lui faudra toute l’aide du négociateur aguerri qu’est Benno et le soutien de sa famille pour qu’elle aborde la réunion avec le père supérieur sans trop d’appréhension. Mais toutes ses prévisions vont être déjouées et l’entretien prendre un tour dramatique.
Après avoir pris un fort mauvais départ dans ses relations avec le temple, Maïn va finalement y entrer comme novice bleue. Pour autant, ni sa famille, ses amis ou même Benno ne partagent son enthousiasme, les uns craignant pour sa santé, d’autres redoutant qu’elle soit réduite en esclavage, voire enlevée par des nobles. Personne toutefois n’aura anticipé l’ambiance dans laquelle va se dérouler son arrivée.
Pour Maïn, affublée de servants plus ou moins ouvertement hostiles, la seule bonne nouvelle semble être que le père supérieur n’a guère envie de se frotter à elle, et que son seul interlocuteur sera le Grand Prêtre. Et si Maïn a atteint son but et peut tranquillement lire à la bibliothèque, moyennement une petite démonstration de ses pouvoirs, elle a encore beaucoup à apprendre pour se glisser dans la peau d’une véritable noble.
Maïn semble avoir conquis Fran, mais Gil et Delhia sont toujours aussi mal disposés à son égard. Lors d'une dispute entre Lutz et Gil, elle va comprendre pourquoi ce dernier lui en veut autant, ce qui va peut-être lui permettre d’y remédier. Mais pour Delhia ?
Maïn commence son règne en tant que directrice de l’orphelinat en apprenant aux enfants la valeur du travail et en récompensant les bonnes volontés. Mais il leur faut aussi des distractions. Justement, une fête importante doit avoir lieu sous peu.
Maïn n'est pas la seule à avoir des ennuis pour avoir fait ce qui lui semblait juste ; en effet, son ami Lutz est en rupture avec sa famille, cette dernière désapprouvant ses choix.
Pour enfin être considérée comme une véritable vestale bleue, Maïn doit acquérir le raffinement et la culture d’une jeune noble. Le Grand Prêtre lui fait donc donner des leçons de musique.
Poursuivant son projet de livre, notre héroïne s’aperçoit qu’elle va avoir du mal à trouver une histoire qui ait du sens pour son jeune public. En effet, les contes qui ont bercé l’enfance d'Urano tombent complètement à plat dans le monde de Maïn. Sans compter d’autres obstacles, plus techniques.
La joie de Maïn est de courte durée. Elle a à peine finalisé son premier ouvrage qu’elle retrouve sa bibliothèque bien-aimée sens dessus dessous. Qui a osé ?
Quel casse-tête ! Maïn doit arracher à son père l’autorisation de rester au temple tout l’hiver, alors qu’il était entendu qu’elle rentrerait chaque soir chez elle. Pour comble de bonheur, l’ordre des chevaliers sollicite l’aide du temple de façon urgente, et les prêtres bleus sont tous absents. moins
Pendant que les chevaliers sont partis à l’assaut, Maïn est confiée à deux soldats censés la protéger, mais l’un d’eux n’est manifestement pas d’accord…
Depuis sa rencontre avec Maïn, le Grand Prêtre est déconcerté par cette drôle de fillette. L’affaire du trombé ayant confirmé les immenses pouvoirs de la jeune vestale, il décide d’en avoir le cœur net.
L’incorrigible Maïn est censée lever le pied et passer l’hiver au temple tranquillement, sans rien inventer ou faire fabriquer quoi que ce soit. Comme on peut s’en douter, à la première occasion, elle va se lancer un nouveau défi, et pas n’importe lequel.
Maïn est censée avoir un panier d'hiver au temple. Cependant, elle a rapidement le mal du pays. De plus, une rencontre entre Benno, Ferdinand et Karstead a révélé que Wolf était une personne dangereuse et avait des liens avec des nobles. Maïn, qui possède des connaissances mystérieuses et un puissant pouvoir magique, a également été ciblée par des nobles. Quelle sera la décision de Ferdinand pour éviter le danger ! ??
Le temps de la consécration, rituel essentiel à la survie du temple, est venu. Maïn et Ferdinand ont pour tâche de déverser leur mana dans d’innombrables calices afin de garantir aux paysans de bonnes récoltes, ce qui motive beaucoup l’apprentie vestale, mais un visiteur redouté et inattendu fait son entrée…
Avec toute une escorte, dont le prêtre bleu inconnu qui semble ravi de l’asticoter sans arrêt, Maïn commence sa tournée des villages autour d’Ehrenfest. Si la conversation qu’avaient eue Karstedt et Ferdinand à son sujet l’avait effrayée, elle va comprendre que malheureusement, ce n’était pas là des paroles en l’air.
L'attentat dont Maïn et ses compagnons ont été victimes porte une fois de plus la marque des nobles, mais ses commanditaires demeurent inconnus. Dans une atmosphère à couper au couteau, Ferdinand finit par donner à Maïn l’autorisation de rentrer chez elle, ce qui lui permettra d’assister à la naissance de son petit frère.
C’est un bien sinistre complot qui se trame dans les rangs de la noblesse, ourdi entre autres par la mère de Schiekikozer, le soldat exécuté pour avoir blessé Maïn. Pendant ce temps, notre vestale bleue, inconsciente du danger, n’a plus que le nom de son frère à la bouche…
Le petit Dirk, l’enfant abandonné qui a conquis le cœur de Delhia, est brûlant de fièvre. Maïn demande une audience en urgence avec le Grand Prêtre, car elle ne connaît que trop bien la maladie dont souffre le bébé. Comme on pouvait le craindre, Ferdinand dresse un tableau assez sombre de ce qui l’attend.
Delhia, furieuse d’apprendre qu’il est question de confier Dirk à une famille adoptive, demande des explications à Maïn. Celle-ci semble fournir une réponse satisfaisante à ses questions angoissées, mais ce sera pour mieux se faire damer le pion par son vieil ennemi.
Le piège tendu par les ennemis de Maïn se referme petit à petit sur l’apprentie vestale bleue. Après avoir échappé à ses ravisseurs grâce à l’intervention de ses proches, elle se rend au temple où elle pense être en sécurité auprès du Grand Prêtre, mais celui-ci n'est pas là…
Le comte et Ferdinand se livrent à un combat sans merci, Maïn protégeant courageusement ses amis à l’aide de son bouclier de vent. Mais la bataille fait rage, et elle ignore combien de temps il lui faudra tenir ainsi.